Dans la continuité de sa logique de criminalisation de l’écologie politique, Darmanin relance sa cabale médiatique et policière contre les militantes et militants des Soulèvement de la Terre.
Il avait déjà provoqué la violence contre les manifestantes et les manifestants à Sainte-Soline et tenté une première fois de dissoudre les Soulèvements de la Terre, via un amalgame dangereux entre désobéissance écologique et terrorisme.
Va-t-on bientôt qualifier de terroristes les gens qui arrachent des salades ? Les militantes et les militants qui dénoncent l’usage abusif de l’eau et la privatisation des ressources ?
Tout en accordant l’impunité aux vrais amis du terrorisme, comme l’entreprise Lafarge condamnée en 2022 pour avoir financé Daesh en Syrie ?